La soif de sang [ Libre ]

Rima était assise au beau milieu d'une grande maison en bois, sirotant tranquillement une tasse remplie d'un liquide rougeâtre tout en se balançant sur une chaise grinçante. Elle savourait chaque gorgée de ce liquide cuivré, poussant alors de multiples soupirs de bien être dés qu'elle le sentait couler tout au fond de sa gorge. Ce sang provenant d'un cerf qu'elle avait pisté une bonne journée, la jeune femme ne pouvait que remercier un Dieu quelconque de lui avoir enfin permit d'attraper cet animal. Après tout, cela faisait un moment qu'elle ne s'était pas nourrit, car le gibier était chose rare dans les Plaines Sanguinolentes. Dégustant donc le plus lentement possible sa petite gourmandise, la jeune femme écoutait les grincements incessants de sa chaise tout en observant la pièce où elle se trouvait. Des trois parties qui composaient la maison, celle-ci, le salon, était dans un état des plus déplorables. Quelques trous, tantôt de la taille d'une pièce de monnaie, et tantôt aussi large qu'un bras, étaient présents un peu partout dans le toit de la maison. Les plus gros avaient été comblé à l'aide de vieux morceaux de tissus, bien que cela n'empêche pas vraiment la pluie d'y passer. Mais pour le plus grand bonheur de la jeune femme, la saison chaude ne tarderait pas à arriver.. Même si finalement, cela n'était pas une très bonne nouvelle.

Revenons-en à la maison. Rima l'avait trouvé après quelques jours d'errance, et bien qu'elle soit en mauvais état, la jeune femme s'était grandement réjouie d'être tombé dessus avant que quelqu'un d'autre ne se l'approprie. Après avoir fait son petit tour d'inspection, elle avait comblé la plus grande partie des trous à l'aide de vieux draps trouvés dans une armoire poussiéreuse et avait fait un brin de ménage dans la maison pour la rendre habitable, ne serait-ce qu'en apparence. Mais n'étant pas habituée à faire ce genre de travail elle-même, cela n'avait pas été chose facile.

La voici donc maintenant à passer son après-midi sur une chaise en pensant à diverses choses, les yeux dans la vague.

Depuis son arrivée, la demoiselle n'avait croisé aucune personne en ces lieux, qu'elle soit de race humaine ou vampirique. Enfin, du moins, pas de personnes vivantes.. En explorant un peu la plaine entourant sa maison, la jeune femme avait un jour trouvé des hommes et des femmes empalés sur des piques. Ce spectacle morbide lui avait rapidement donné la nausée, et la vampire s'était jurée de ne plus jamais venir rôder par ici.

Chassant rapidement ce souvenir de son esprit, Rima observa le fond de sa tasse où se trouvait encore quelques gouttes de sang. Elle passa alors distraitement son index sur les parois intérieures de la tasse avant de le glisser dans sa bouche, ne souhaitant en aucun cas gaspiller ce met délicieux qui se faisait si rare par ici. Dés qu'elle eut terminé, elle alla passer un rapide coup d'eau sur la tasse pour ensuite aller la ranger sur une vieille étagère où trônait d'autres tasses identique à celle-ci. La jeune femme alla ensuite se poster à l'entrée de la maison, endroit où aurait normalement du se trouver une porte. Reprenant ses vieilles habitudes, la vampire glissa une main dans ses cheveux pour les coiffer un peu, puis tapota le tissu de sa longue robe noire pour tenter d'en ôter quelques invisibles grains de poussières. Elle sortit ensuite de la maison et jeta un coup d'oeil aux alentours. Rien, comme toujours. Poussant alors un long soupir, la jeune femme commença à se promener dans les Plaines Sanguinolentes, continuant bien malgré elle à se remémorer quelques vieux souvenirs.

Une fois encore, Lisanna c'était enfuie de chez elle. Son père avait encore arrangé une rencontre avec un homme, il insistait vraiment sur ce point là. C'est pourquoi elle partait si souvent en douce de chez elle. Elle aimait vraiment la liberté et les quelques moment où elle se sentait ainsi, c'est quand elle était loin de chez elle. Aujourd'hui elle s'était dirigé vers les plaines sanguinolentes, elle n'était d'ailleurs jamais arrivé aussi loin. En général elle était rattrapé très rapidement mais cette fois si elle avait été plus maligne qu'eux et elle en était fière.
En courant elle avait fini par arriver derrière une espèce de cabane, elle l'appelait ainsi car comparé à chez elle, c'était petit. La maison avait l'air abandonné, la jeune femme se dirigea donc vers l'entrée pour se cacher dedans. Lisanna n'aurait jamais imaginée trouver une maison ici, dans cet endroit si hostile. En entrant elle se dirigea aveuglément dans cette bâtisse. La visitant, traversant les pièce, elle vit quelque 'réparation', enfin si l'on pouvait appeler ça comme ça. Elle ne pensait pas pouvoir vivre la dedans, après tout elle avait toujours été habitué aux lux si on peut dire.
On voyait clairement que c'était habité, quelqu'un vivait ici, elle regarda dans les placard, ou elle trouva plusieurs tasse, elle tourna le bouton du robinet. De l'eau coula, Lisanna fut surprise de voir que l'eau passait encore ici. Elle ferma ensuite le robinet, il était inutile de laisser couler de l'eau inutilement. Soupirant un peu, elle sorti de la maison, cela faisait tellement longtemps qu'elle était parti, son père devait être devenu fou et elle rit légèrement à cette idée.
Elle resta sur le pas de la porte, regardant le malheureux paysage devant elle, elle sourit un peu avant de s'y aventurer.

Kahlan marchait depuis deux jour. Elle regarda autour d'elle et vu qu'elle était arriver a une immense plaine. Elle parcouru la pleine du regard pour voir si il y avait pas quelle qu'un. Un vent souffla alors sur elle entraînant une odeur douce et agréable. Elle devait trouvé quelqu'un un humain ou un animal pour se nourrir car sa réserve était vide. Car oui elle ne mord pas et le tue pas d'être humain elle acheter leur sang ou elle travaille en échange pour qu'il leur donne des poche de sang pour éviter de tuer.
Elle marchait sur la plaine se laissant guider par le vent et voit une fille a l'entré d'une cabane si on pouvait appeler sa comme sa. Elle suiva la fille en silence comme pour chasser sa proie en essayant de ne pas se faire remarqué par la jeune fille.